Digit Mar 11 Jan - 20:10Oyez oyez mesdames messieurs, courte biographie d'un personnage métissé aussi bien de par son sang que de par son appartenance à l'ancien monde (celui de ses ancêtres Hopis, indiens d'amérique) et au nouveau (celui des hommes blancs et leur technologie).
Son père est un archéologue français, Pierre-louis laforge, grand voyageur et charmeur devant l'éternel.
Sa mère, "Source-claire" est la fille d'un grand chaman qui fascina longtemps Pierre Louis Laforge de par ses grandes démonstrations d'archéologie intuitive.
Les deux hommes sillonnèrent ensemble le vaste monde de longues années durant, avec à leur actif de nombreuses découvertes fascinantes et parfois dérangeantes.
Leurs travaux, fortement contreversés, cessèrent d'être un frein à la carrière de laforge quand celui-ci décida de regagner l'Europe pour réintégrer l'etablishment.
Entre-temps, Arizona (petite source) était venu au monde.
Très tôt, se manifesta en lui un grand pouvoir de divination qui ne se trouva perturbé qu'au contact des visages pâles dont il se méfiait autant que du crotale qui, selon lui, avait au moins la politesse de prévenir avant de frapper.
Mais, l'adolescence fit son travail et bientôt, Arizona souhaita tout savoir de ce père mystérieux reparti de l'autre côté de la grande plaine d'eau salée.
Pierre-Louis apprenant la curiosité de son fiston fit en sorte de le faire venir par bateau dans l'espoir de façonner ce jeune esprit qu'il devinait brillant.
La cohabitation fut étonnamment productive et apaisante pour Laforge et Arizona qui s'entendaient comme larrons en foire.
Seule ombre au tableau, le troisième oeil du jeune métis se refermait de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps.
Comme contaminé par le fantôme cartésien et mangeur de rêves des européens cyniques et arrogants.
Arizona, qui depuis sa plus tendre enfance semblait vivre avec un temps d'avance sur les évènements, se retrouva aussi amputé que s'il l'eut été d'un membre et cet état lui était rien moins qu'insupportable.
Il ne pouvait compenser ce terrible handicap qu'en chiquant toute la journée durant les feuilles d'une plante endémique à son sol natal dont il avait rapporté quelques plants avec lui, et qu'il cultivait depuis dans la serre de son père.
Mais, la nuit, son sommeil redevenait stérile, privé des molécules bienfaitrices.
En 1882, Laforge avait organisé une soirée spirite avec quelques amis mondains.
L'un d'eux était accompagné d'un jeune homme ambitieux et assez infatué de lui même auquel certains prédisaient un avenir hors du commun depuis qu'il avait intégré léquipe de "Continental Edison Paris".
Le jeune homme répondait au nom de Nikola Tesla.
Au cours de cette fameuse soirée, Arizona fit une démonstration de ses dons qui enchantèrent l'assistance et intriguèrent le jeune scientifique serbe.
L'affaire n'en resta évidemment pas là et bientôt Tesla vola, avec l'aval de Laforge, sa place de mentor du jeune métis qui souhaitais découvrir le monde et décrypter ses mystères.
Tesla ne voulant pas se voir flétrir la lumière dans l'âme d'Arizona, passa quelques nuits à plancher sur une solution propre à reconnecter l'indien avec l'univers de ses ancêtres et des esprits en général.
Sur la base de ses travaux balbutiants sur l'électricité, Nikola crééa la première machine portative de mediumnité constante.
Le cerveau du sujet étant relié au système nerveux central par un système de dérivation d'ondes, lui-même commandé par une manette à curseur permettant le contrôle total des transes du porteur de la machine.
Ainsi, le curseur, gradué de 1 à 10 permettait à Arizona soit d'endormir ses facultés psychiques et ainsi vivre une vie normale d'européen ou au contraire d'aller crescendo dans la connexion médiumnique et l'omniscience.
Parallèlement à de nouveaux troubles qui agitaient une europe frémissante de nouvelles idées politiques et de nouveaux schémas économiques, nos trois compères, Arizona, Laforge et Tesla créèrent une équipe d'enquéteurs traquant le paranormal aussi bien que les premiers terroristes techno-économiques, souvent animés de la seule et même ambition de dominer un monde en mutation toujours plus rapide.
Très vite, les champs de bataille se déplacèrent de transylvanie, à paris, Londres ou encore les jeunes états unis d'amérique.
Suite au prochain épisode.
Voilà messieurs-dames, le premier jet (pas trop relu ni corrigé) de l'idée de personnage qui m'est venu pour intégrer ce grand projet rétro-futuriste.
Tout reste à développer. Il faudrait aussi que je fasse un croquis des personnages pour parfaire le tableau.
Son père est un archéologue français, Pierre-louis laforge, grand voyageur et charmeur devant l'éternel.
Sa mère, "Source-claire" est la fille d'un grand chaman qui fascina longtemps Pierre Louis Laforge de par ses grandes démonstrations d'archéologie intuitive.
Les deux hommes sillonnèrent ensemble le vaste monde de longues années durant, avec à leur actif de nombreuses découvertes fascinantes et parfois dérangeantes.
Leurs travaux, fortement contreversés, cessèrent d'être un frein à la carrière de laforge quand celui-ci décida de regagner l'Europe pour réintégrer l'etablishment.
Entre-temps, Arizona (petite source) était venu au monde.
Très tôt, se manifesta en lui un grand pouvoir de divination qui ne se trouva perturbé qu'au contact des visages pâles dont il se méfiait autant que du crotale qui, selon lui, avait au moins la politesse de prévenir avant de frapper.
Mais, l'adolescence fit son travail et bientôt, Arizona souhaita tout savoir de ce père mystérieux reparti de l'autre côté de la grande plaine d'eau salée.
Pierre-Louis apprenant la curiosité de son fiston fit en sorte de le faire venir par bateau dans l'espoir de façonner ce jeune esprit qu'il devinait brillant.
La cohabitation fut étonnamment productive et apaisante pour Laforge et Arizona qui s'entendaient comme larrons en foire.
Seule ombre au tableau, le troisième oeil du jeune métis se refermait de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps.
Comme contaminé par le fantôme cartésien et mangeur de rêves des européens cyniques et arrogants.
Arizona, qui depuis sa plus tendre enfance semblait vivre avec un temps d'avance sur les évènements, se retrouva aussi amputé que s'il l'eut été d'un membre et cet état lui était rien moins qu'insupportable.
Il ne pouvait compenser ce terrible handicap qu'en chiquant toute la journée durant les feuilles d'une plante endémique à son sol natal dont il avait rapporté quelques plants avec lui, et qu'il cultivait depuis dans la serre de son père.
Mais, la nuit, son sommeil redevenait stérile, privé des molécules bienfaitrices.
En 1882, Laforge avait organisé une soirée spirite avec quelques amis mondains.
L'un d'eux était accompagné d'un jeune homme ambitieux et assez infatué de lui même auquel certains prédisaient un avenir hors du commun depuis qu'il avait intégré léquipe de "Continental Edison Paris".
Le jeune homme répondait au nom de Nikola Tesla.
Au cours de cette fameuse soirée, Arizona fit une démonstration de ses dons qui enchantèrent l'assistance et intriguèrent le jeune scientifique serbe.
L'affaire n'en resta évidemment pas là et bientôt Tesla vola, avec l'aval de Laforge, sa place de mentor du jeune métis qui souhaitais découvrir le monde et décrypter ses mystères.
Tesla ne voulant pas se voir flétrir la lumière dans l'âme d'Arizona, passa quelques nuits à plancher sur une solution propre à reconnecter l'indien avec l'univers de ses ancêtres et des esprits en général.
Sur la base de ses travaux balbutiants sur l'électricité, Nikola crééa la première machine portative de mediumnité constante.
Le cerveau du sujet étant relié au système nerveux central par un système de dérivation d'ondes, lui-même commandé par une manette à curseur permettant le contrôle total des transes du porteur de la machine.
Ainsi, le curseur, gradué de 1 à 10 permettait à Arizona soit d'endormir ses facultés psychiques et ainsi vivre une vie normale d'européen ou au contraire d'aller crescendo dans la connexion médiumnique et l'omniscience.
Parallèlement à de nouveaux troubles qui agitaient une europe frémissante de nouvelles idées politiques et de nouveaux schémas économiques, nos trois compères, Arizona, Laforge et Tesla créèrent une équipe d'enquéteurs traquant le paranormal aussi bien que les premiers terroristes techno-économiques, souvent animés de la seule et même ambition de dominer un monde en mutation toujours plus rapide.
Très vite, les champs de bataille se déplacèrent de transylvanie, à paris, Londres ou encore les jeunes états unis d'amérique.
Suite au prochain épisode.
Voilà messieurs-dames, le premier jet (pas trop relu ni corrigé) de l'idée de personnage qui m'est venu pour intégrer ce grand projet rétro-futuriste.
Tout reste à développer. Il faudrait aussi que je fasse un croquis des personnages pour parfaire le tableau.
